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 trouble factory. (néo krocmou)

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Ange.
cause that would mean you had a heart
Ange.


messages : 745
date d'inscription : 17/10/2012
âge : seize année.
côté coeur : lucas robert hemmings, you know it.
emploi : pute professionelle.
ton sosie : beyonce tavue.

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MessageSujet: trouble factory. (néo krocmou)    trouble factory. (néo krocmou)  Icon_minitimeMar 5 Aoû - 21:45



☆ ☆ ☆
ma vie est comme ce lit, pensais-je. Fragile. Incertaine. Suspendue.

sept cent trente jours après.

« T'es pas sérieux, gamin, si ? »
« Pourquoi je ne le serais pas ? »
Il se laisser aller sur sa chaise avant de lancer un énorme soupire. Ses deux bras le long de la chaise, il me dévisager de haut en bas et stopper son regard sur ma jambe en bois. Un silence pesant s'installe, j'entends le bruit de la secrétaire taper au kilomètre et sa mâchoire mâcher son chewn-gum d'une manière agaçante, la lumière tamisée des néons qui me rappeler mes nuits passer dans des stations services et cette affreuse odeur de transpiration mélanger au ridicule diffuseur de parfum qu'il avait installer au pied de son bureau. Je le sentait agaçer de la situation, il saisait de nouveau mon  CV, le parcourant de son regard à la recherche d'un défaut à relever. J'aurais voulue soupirais également. Ou hurler, ou claquer la porte les mains dans mes poches mais à la place, je vibrais mon pied valide de manière énerver. « Ecoute, gamin, je te rappellerais. » Il reposait mon CV sur la table, de loin j'ai vue qu'il avait écris « jambe de bois » à coté de mon prénom, il devait avoir remarquer que j'ai remarquer, car il le repris rapidement et le ranger dans le premier tiroir de son bureau. Il fit ensuite un geste de la tête en se laissant tomber de nouveau sur sa chaise avant que la secrétaire désagréable me fasse comprendre qu'il fallait que je m'en aille. J'ai tourné le talons sans dire au revoir et laisser les deux portes claquer derrière moi, tout en regagnant le volant de mon vans.

« Je te rappellerais » pensais-je en me garant sur une air d'auto-route. Le dos caler contre la porte arrière de mon véhicule, je pinçais une cigarette entre mes lèvres et l'allumer du faible feu de ma dernière allumette. Personne ne rappellerais jamais. Ils nous laissaient dans le silence, le dénis et un doux rêve perdu dans les silences désignant le refus. J'aurais juste voulue qu'on me le dise en face, qu'on se dresse devant moi et qu'on me dise « Non. Non, gamin. On prendras pas un putain d' handicaper dans notre équipe. » Même si c'est crus, même si ça fait mal, j'aurais voulue qu'on me le dise, au moins une fois. Qu'on me fasse comprendre que tout le problème était là, et non que c'était parce que j'étais trop jeune, trop indiscipliné, trop tête en l'air. La vérité, c'est tout ce que je voulais entendre. La gérante du magasin me fit signe de partir, des familles pique niquer sur l'herbe fraîche et elle ne voulais pas que je les dérange avec ma fumer. J’acquis  ses ordres en écrasant ma cigarette à moitié entamer contre la portière et remonter en voiture.

Six cent borne plus tard, me voilà. Un vagabond, c'est ce que j'étais, c'est ce que  j'ai toujours été. Garer sur le parking du mcdégeux, une boîte de nuggets sur les genoux, j’admirais le ciel, si large et si bleu. La fatigue me faisait rêvais. Je fermer les yeux un instant, après avoir avaler un morceau de poulet. Je rêvais qu'il était là. Je rêvais qu'on voler. Je le laisser guider, ça lui faisait plaisir d'avoir de le contrôle sur la chose. Je lui faisait confiance et il faisait de même. Il me laisser virevolter de temps à autre. Je sentait encore le vent sur mes écailles, les nuages qui se dégager à mon arriver, ma vitesse, son cœur battant à chaque fois que je monter encore d'un étage. Il disait « On essaie, mon grand ? » et j’accepter. Je risquer ma vie, lui aussi. Mais je lui faisait confiance, aveuglement confiance, que j'étais près à sauter dans le vide si il me le demander. Et ce fût le cas. Il se détacher, laisser son corps dévaler les étages à une vitesse qu'il ne contrôler pas. D'un coup, je le rattraper, on voler l'un en face de l'autre, le vent dans les yeux. Nos corps se rejoigne avant de heurter le sol et d'un geste, il nous remettais de nouveau dans les cieux. Tout est là.. Tout est identique, il suffisait d'y penser. A force de repasser tout ça dans ma tête, je finit par me demander si cela est réel.
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Ange.
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MessageSujet: Re: trouble factory. (néo krocmou)    trouble factory. (néo krocmou)  Icon_minitimeSam 16 Aoû - 8:02

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