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  (◊) baise là de ma part.

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Ange.
cause that would mean you had a heart
Ange.


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MessageSujet: (◊) baise là de ma part.     (◊) baise là de ma part.  Icon_minitimeVen 8 Mai - 9:12

Alaska Reven Faith dites "Fay" Bennet-Dunphy
« i do augustus, i do. »

âge ▲ même si d'apparence, je ressemble à une petite fille de douze ans, et qu'en taille à une grande dame de vingt neuf ans, sache que j'ai dix neuf petites années. date de naissance ▲ née un certain trois mai mille neuf centre quatre vingt treize. lieu de naissance ▲ en Indiana, USA. Dans un hôpital publique ou ma mère travailler autant que psychologe en se temps là, elle a perdue les eaux en pleine séance de thérapie de couple. nationalité ▲ ma mère est anglaise, elle est née à Canteberry dans la cabanne en bois de mes grands parents. Comme tout le monde elle rêver du rêve americain est à décidé de faire de ses rêves une réalité en s'installant chez sa tante au Texas. Elle voulais passer sa carrière avant tout, c'est pour cela qu'elle a accepté le job en Indiana, peut après avoir rencontré mon père. Ils sont tomber amoureux est c'est ainsi que fut crée la perfection. Mon père lui, est un americain pur souche. Il est né dans un hôpital au centre de Manhattan est a vécue dans un appartement le quart de sa vie dans le même quartier. Son départ pour l'Indiana a marquer le début de sa nouvelle vie. orientation sexuelle ▲ je n'ai jamais doutée de mon amour pour les hommes. Surtout un en particulier.; statut civil ▲ Pour cité Alfred De Musset " Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueuilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompés en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière et on se dit : j'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois ; mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueuil et mon ennui. " Malgré que l'amour est un mystère pour moi, je ne cesse de voir on happy ending quelque part dans ce bas monde. statut financier ▲ Mon père nous a laisser une grande richesse que ma mrèe refuse d'utilisé. Elle préfère continuait à travers à la sueur de son front et donner l'argent à ceux qui ne peuvent plus le faire. Nous ne manquant de rien dieu merci. métier ou études ▲ J'ai finit mon bac il y a un an, et j'ai décidé de prendre une année sabbatique. Ce n'est pas raisonnable de ma part, mais j'ai sauté une classe et je mérite de prendre un peu de temps pour moi, pour réfléchir à ce que je vais bien faire de ma vie. En attendant, je travail comme serveuse dans un café et je fais du bénévolat pour les enfants aveugles. avatar choisi ▲ Taylor Marie Hill. crédits ▲taylorhillfans.tumblr.com et WILD COOKIE.

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MessageSujet: Re: (◊) baise là de ma part.     (◊) baise là de ma part.  Icon_minitimeVen 8 Mai - 9:12

Après la mort de son père, Faith a eu quelque problème de santé. Elle a eu des crises d'angoisses et a dit des choses pas super gentille au gens qui l'entourer, elle a également pété son câble dans un super marcher et a essaie de se jeté d'un pont. C'est la raison pour lequel elle, préfère qu'on l'appelle Fay au lieu de Faith, puisque Faith rappelle l'espoir qu'elle donne au gens et après tout ses événements elle ne se donne plus le droit de donner de l'espoir aux personnes qui l'entour. ▲ La seule personne qui a le droit de l'appelé ainsi est Néo, de temps en temps, lorsqu'il prononce son prénom, ça lui redonne l'espoir qu'elle avait lorsque c'était son père qui le prononcé. ▲ C'est une fille stable à présent, un peu timide sur les rebords, mais il faut bien la connaître pour l’apprécier à sa juste valeur. Malgré tout, c'est une personne affreusement jalouse qui ne supporte pas que l'ont touche à ce qui lui appartiens, une attitude qui pousse à plusieurs dispute avec les gens qu'elle aime. ▲ Cette année, la jeune fille à décidé de prendre une année sabbatique. Un choix un peu stupide, puisqu'elle avait était demander à plusieurs école en sortant du lycée, mais elle avait besoin de plus de temps pour réfléchir à un domaine qui lui plais vraiment et dans lequel elle pourrais exceller. ▲ La jeune fille à une passion particulière avec les séries fantastique, sa préféré : teen wolf, suivie de once upon a time. Elle craque sur le beau Dylan O'brien et ses blagues à deux balle et rêverais qu'un pirate tel que le capitaine crochet la kidnappe pour s'envoler sur le jolly rogers. ▲ Fay ne boit qu'en soirée, c'est une règle d'or. Ce n'est pas le genre de fille qui s'enfile une quinzaine de bièrre lorsqu'elle s'ennuie. En soirée d'ailleurs elle boit mais pas jusqu'au point de faire un very bad trip. ▲ Elle touche souvent ses cheveux lorsqu'elle est ennuyer ou en stresse. Elle a appris à réspirer trois fois lorsqu'elle ne se sent pas en confiance et à concentré son regard sur un point imaginaire. ▲ Son dimanche matin de rêve, serais un petit dej au lit avec des pancake au framboises et un dvd de bob l'éponge dans les draps de son cher et tendre Néo.
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MessageSujet: Re: (◊) baise là de ma part.     (◊) baise là de ma part.  Icon_minitimeVen 8 Mai - 9:12


regret colors like old friends
Certaine relation sont comme des droites parallèles, elles se suivent, s'épaule, et sont toujours là l'un pour l'autre quoi qu'il puisse arriver. Et d'autre relation, même celle qui ne sont pas destine à l'être sont comme des droites concourantes, elles se croisent une fois, un fragment de seconde ou un quart de siècle, et mène leurs vie sans la présence de l'autre. En règle générale, la relation entre des parents et son enfant est un droite parallèles, dans mon cas, mon père était une droite concourante. Il a partager treize longue année de ma vie, avant de prendre un ticket aller simple pour sortir de ma vie. J'aime utilisé le terme « prendre un ticket », ça sonne comme un long voyage dans un pays exotique. Si seulement c'était le cas.

Je m'assis au pied du lit de mon père. On avait redécorer sa chambre pour enlever cette ambiance morbide d'hôpital. Il avait insisté pour qu'on ramene ses objets fétiches, tel que sa canne à pêche qu'il avait à peine utilisé en trois ans, ou encore ses bottes de cow boy ainsi que mes chefs-d’œuvre datant de mes six ans qui orné glorieusement les quarte ridicule mur qui nous entourée, sur sa table de chevet, il y avais une photo de nous trois datant que mes trois ans et demi. J'avais les cheveux cour attacher en vrac sur ma petite tête, mon gilet rose barbie girl et je souriais fièrement dans les bras de mes deux parents. Ma mère elle, avait son carré plongeant, elle détestai cette coupe mais ne cesser de dire que ça la rendait plus jeune, sur elle, sa robe versace dos nue favorite, et son nouveau bronzage, elle souriait doucement, sans montré ses dents, ses lunettes de soleil sur le front, quant à mon père, il avait sa chemise hawaïen, son chapeau de paille qu'il avait fait de ses propres mains lorsqu'il avait dix ans et ses lunettes de soleil à la James Bond sur le nez. On était au île Canaris se jour là, profitant d'un serveur pour nous prendre en photo. Il avait insisté pour l'avoir près de lui également, certe nous avions fait des dizaines de photos de famille entre aujourd'hui et ce jours là, mais mon père avait insisté pour avoir cette photo là près de lui. Il disait qu'en la regardant, il avait l'impression d'être de nouveau sous le soleil, le vent caressant ses mollets et le bruit des vagues qui l'endormirai. Au plafond, on avait accrocher une vingtaine de poster de palmier pour le ramener à ce jour là. Il avait dit que c'était ce dont il voulait se souvenir en dernier. Sa femme allongé près de lui, sa main dans la sienne et sa fille endormis sur son torse, l'air chaud de sa respiration le long de son ventre, l'air pesant et l'odeur de la mer. C'était ce qu'il voulais se rappeler une dernière fois. On savait tous ce qui allais se passer, il allait avaler cette foutue pilule, ils allaient débrancher sa machine et durant cinq minutes, un peu moins, il allait essayer de se battre pour respirer avec ses poumons endommager. Mais il n'y arriverais pas, alors la pilule allégeras cette affreuse souffrance qu'il ressentait le long de son corps et il s’envolera dans la lumière, pour un nouveau voyage. Sans nous, cette fois-ci. La décision avait eu une énorme polémique durant ses six derniers mois. Les allers retour au urgence, les opérations, les crises d’angoisses, les terribles nouvelles, nous submerges totalement, tout ces six mois avait était un vrais enfer que ce soit pour mon père qui était passer une vingtaine de fois en six mois dans le bloc opératoire, que pour ma mère qui devait jongler entre un marie malade et une fille de treize ans à peine qui refuser d'aller à l'école, de peur de ne perdre son père durant le cours de gym. Au début, maman me forcer à suivre les cours même si c'était pour une demi-journée, elle me forcée à y aller quand même. Mais plus on avancer dans le temps, plus elle perdait pied, et plus l'école était devenue facultatif pour elle et pour moi. Vers Novembre, j’arrêtai donc les cours pour l'aider à s'en sortir de cette enfer dont nous étions tout les trois enfermer. Je n'avait pas l'age pour rester de garde à l'hôpital, je restait donc dans le dispensaire pour enfant durant la nuit, et monté dans la chambre de mon père pendant les journées ou il n'était pas en soin intensif. Je pris rapidement mes marques, les long couloirs était devenue une salle de jeu, les infirmières mes amis et la cantine mon lieu préféré pour lire un livre et jouée à « pour quel raison cette personne est-là » avec les cantinières. Ma mère elle, avait plus de mal pour se rendre compte de la situation. Toute les semaines, elle espéré très fort que mon père soit sortit d'affaire, elle se promis à elle même de ramener mon père à la maison toute les semaines et me promettait que tout aller bien se passer. Elle travailler à l'étage d'en dessus, c'était facile pour elle de venir voir et épauler mon père, mais tout aussi difficile, de se concentré avec des patients quand elle sait que mon père est en soin intensif, pendant ses six mois, c'est elle qui avait besoin de voir de psy, je me demander ce qu'elle pouvait bien dire à ses patients alors qu'elle même était dans un état second. Nous nous retrouvions tous les soirs, autour de mon père a manger des plats réchauffer et à faire comme si tout était normale, mais rien ne l'était. Et lorsque mon père était endormis ou encore dans un état critique, nous restions, maman et moi, dans un silence totale à écouté la machine respirer pour lui. Sa vie était devenue inhumain, et cette situation était devenue inhumaine, enchaîner les opérations, ne pas avoir de résultat positif, devoir augmenter la dose de médicaments, rajouté des contraintes à une mode de vie, tout ça était devenue inhumain. Très vite, le sujet du suicide aidé est venue sur le tapis. Au début, ma mère se montré hostile et totalement contre cette idée, c'était inimaginable pour elle d'envisager la mort de son marie, aider pour les médecins en plus de cela. Elle garder une flamme (minuscule était-elle) pour une probable happy ending, un retour à la normale et peut être un autre voyage dans les eaux indiens, mais rien de tout cela n'était possible. Je venais de passer ma quatrième, entre les murs d'un hôpital et elle avait était suspendue pour avoir manquer de tact envers un patient. De plus, mon père souffrait tel un martyr à chaque opération et rien ne sembler le guérir. Il n'y avait pas d'autre solution et cette douleur immense sembler tué mon père à petit feu. La décision a était prise en début Juillet, date et heure choisit par mon père. Le tout a été orchestré par ses soins, même le dernier chant qu'il m'avait demander de chantonné, je tenais très fort la main de ma mère qui fondait en larme et comme lorsqu'il était dans un état critique, nous gardions un silence d'or, pour cette fois-ci n'entendre que sa respiration. « Je me sent.. vivant. » fit-il, sa respiration devenant de pus en plus basse. « C'est comme le matin au réveil, durant cinq seconde, tu ne sait plus qui tu es, ni les problèmes que tu as. Tu n'es rien, tu es le néant, tu ne sait plus si tu as fait le bien ou le mal, si tu es le bien ou mal, tu sais juste que tu es humain, tu ne ressent rien, parce que c'est trop tôt pour se sentir quoi que ce soit, et la seule chose que tu sait sur toi c'est que tu es vivant. Je me sent vivant.. » j'eus un sourire vers mon géniteur. Quel étrange discours de la part d'un condamné.


cause no one can understand how much pain is
Un nouveau départ ne signifier pas qu'on devait oubliée la totalité de notre ancienne, non. Elle signifier que notre ancienne vie avait assez de chapitre pour que le livre soit finit, et qu'un tome II soit de nouveau dans les bacs. En aucun cas on ne devait tourner le dos à cette vie passer, en oublier les membres et les détails. On se relance dans un nouveau tome afin que les personnages avances un peu plus qu'ils ne le sont. Bella Swan n'aurais pas avancer, si elle avait décidé d'être une humaine toute sa vie, Stefanie Meyer a donc était obliger de faire un tome II afin qu'elle puisse vendre son âme au diable.

Ma mère s'étaler de long, en large sur le sofa. Ça devait faire deux semaines qu'elle refuser de faire quoi que ce soit, s’empiffrant de tout ce qu'elle pouvais trouver de gras dans toute la maison. Cette état second près de la dépression, que j'aime appelle « alerte nutella » était l'état que mère s’écrêter lorsqu'elle venais de rompre avec son copain (que j'ai rentrée ou parfois pas) ou encore quand un épisode de Desperate Housewife est annulé et qu'elle se rend compte que oui, la série est finit pour de bon et que ce n'est que de pauvre rediffusant. Dans le cas précis, en ce jeudi maudit ou ma mère regarder pur la énième fois la troisième saison de DH, nous somme dans le cas un, une violente rupture avec son copain (que j'ai rencontré et que j'aime beaucoup dieu merci). Mais pas n'importe qu'elle rupture, il y a deux semaines, ma mère aurais dû se marier. Le deuil de mon père a été une très lourde épreuve pour nous deux, le retour à la « vie normale » comme la société aime l’appelé n'était pas tâche facile. L'enterrement c'est fait dans le New Jersey, à la ferme de mes grand parents paternelle. Ensemble, nous avions dissiper les cendres de mon cher père dans le champ ou il avait vue le jour pour la première fois. Nous avions ensuite passer le week end dans son passer, sa chambre ressembler presque à la mienne sans les photos de toute les veaux qu'il avait mis au monde avant ses dix sept ans. J'avais les deux pieds dans le papa dont ma mère était tomber amoureuse, sur son bureau d'ailleurs, trôner un vielle polaroïd d'eux deux à la fête foraine sur la grand roue et un cliché de ma mère en noir et blanc que je trouvais très réussi. Ma grand mère m'avait laisser ramasser tout les affaires que j'aimerais garder, dans le tas j'avais pris son fameux polaroïd, sa casquette de base-ball et la veste en jean qu'il porter sur la photo avec ma mère, celle-ci qui n'avait pas pris la peine d'entré dans la chambre pas peur des sentiments qui aurais pue la bouleverser. Je venais de passer ma première nuit dans ma chambre, dans mon lit, dans un pyjama depuis plus de six mois, et je venais de découvrir cette sensation horrible qu'était : le manque. J'aurais aimer que mon père soit là pour me raconter toute les folles histoires qui se sont passer avec ce polaroïd, qu'il me montre un par un tout les clichés qu'il avait pris, cliché qui avait sûrement une histoire particulière qu'il aurais pris plaisir à me raconté. Puis les trophée qui trôner sur son armoire, eux aussi devait avoir une histoire amusante. Je me suis ensuite rendue compte que plus jamais il n'aurais l'occasion de me raconté ses histoires, que personne d'autre ne les entendrais plus, du moins si ça vient de sa bouche, et cette nuit là, ce fût la première fois de ma vie que le manque avait envahie tout mon être, me submergeant dans une enveloppe de tristesse et de regret. Ma mère elle, avait traverser cette phase depuis un bout de temps je pense et là tout de suite, sous mes yeux elle le retraversait de nouveau. Non pas pour mon père, mais pour  Jeremy. Jerem était le fiancé de maman. Ils s'étaient rencontré un an et demi après la mort de mon père, dans un restaurant indien ou la meilleure amie de ma mère fêter ses années de débauche. Elle avait invité toute son ancien team de quand elle était ados, en espérant retrouver la flamme et la passion de ses dix sept ans. Ils burent toute la soirée sans penser au potentielle accident de la route ni au lendemain de soirée, et c'est entre deux samoussa que Jeremy avait mis le grappin sur ma mère. C'était ce qu'il m'avait raconté, d'après ma mère c'était une soirée chic et le samoussa était en réalité des canapés de caviar, mais j'avais du mal à le croire était donner que Jeremy était tout sauf un mec raffiner. Il avait l'air d'un ados de dix neuf ans qui aurais oublié de grandir, ses rêve d'ailleurs était digne d'un adolescent de dix neuf ans, il rêver de monter un groupe de rock et  faire la première partit des rollings stone. Je l'aimais bien, dans le sens ou on était un peu sur la même longeur donde, il a même réussis à convaincre ma mère d'acheter un chat. Ma mère était heureuse, elle se sentait bien avec un homme qui l'aimais, elle retrouva même son rire de baleine et son sourire forceur dont j'avais oubliée l’existence. Tout aller pour le mieux, jusqu'à ce que les choses on était forcer d'évoluer. Comme je l'ai dit plus haut, on ne peut pas rester éternellement sur un tome I, a un certain moment, on doit se forcer à faire un tome II avant de perdre son publique. Ma mère n'avait aucune envie de faire un tome II, elle était bien son style de vie purement americain, à travaille à deux pas de son boulot et a trois pas de mon école, elle avait de nouveau une vie sociale et avait pour projet d'avancer un peu plus dans son boulot, sa vie lui plaisait, mais Jerem lui, voulais plus. Il voulait une maison en banlieue, un jardin, des chiens, une piscine, un ballon gonflable, des enfants, des mots qui dépassaire beaucoup trop ma mère. C'est là que je compris qu'elle vivais encore dans le passer, et que Jerem n'était là que pour comblée se manque dont elle souffrait encore. Ce manque qui ne faisait pas que la traverse comme moi, mais qui habitée carrément dans ses entrailles. Elle mis fin à cette relation, et fin à cette éventualité de tome II. Les éditeurs n'aurais pas le plaisir d'afficher la vie de Christina Bennet tome II dans les bac cette été, parce qu'elle n'avait pas encore finit d'écrire le tome I. Ma mère brouiller donc du noir sur le canapé, non pas parce qu'elle avait rompue avec son copain, mais parce qu'elle venait de se rendre compte qu'il était impossible pour elle de retirer cette affreuse sensation de manque qui lui polluer le thorax. « Je crois.. Je suis persuadé que l'avenir te.. nous réserves quelque chose de beau. » dis-je du bout des lèvres en serrant fort ma mère contre moi.


Some people care too much, I think it’s called love
D'après Wikipédia, Le coup de foudre est un phénomène qu'une personne peut ressentir lors d'une rencontre subite avec une personne inconnue. Le coup de foudre paraît être quelque chose d'unique et de formidable, c'est du moins ce que ressentent les personnes qui se disent avoir été frappées de la fameuse « décharge électrique » de l'amour. Cette expérience intrigue beaucoup car on ne la comprend pas vraiment, c'est quelque chose qui nous arrive et que l'on ne peut ni expliquer ni contrôler. D'ailleurs on retrouve ce thème dans de nombreux films tels que Coup de foudre à Nothing Hill ou dans Le fabuleux destin d'Amélie Poulain. Dans ces films on voit les protagonistes épris d'une passion folle et incontrôlable les conduisant dans un tourbillon d'émotions, et d'amour. Mais cela ne nous explique pas d'où ça vient ni si cela existe réellement, un « bonheur à l'état pur. » La personne a la sensation de vivre le grand amour. Les personnes ayant vécu cela décrivent une sensation de « papillons dans le ventre »

La porte se refermer sur nos deux âmes. Pendant une seconde, j'ai hésité entre m'enfuir ou prétendre avoir mal au ventre pour m'endormir tout de suite. Mais la tension était beaucoup trop grande, le stresse aussi et l'envie de lui sautée dessus tel une bête féroce me ronger de l'intérieur. Rien, ne nous pré-destinée à être ensemble, notre situation familiale, nos choix d'études, nos look, rien ne nous rassembler, à part cette peine immense d'avoir perdue un être cher. Dans un autre contexte, je n'aurai jamais poser les yeux sur lui, à moins d'avoir d'un renseignement, et je pense qu'il aurais fait de même. Mais une espèce de chimie c'était crée entre nous, une chimie qui nous attirer l'un contre l'autre malgré les problèmes et les difficulté que notre histoire pourrais emmener. Et tout ça en un regard. Ma mère c'était enfin décidé à écrire un tome II à sa vie. Je ne me doutais de rien, sauf le soir ou elle m'a forcée à regarder un documentaire sur les familles recomposer, je pensais très sérieusement qu'elle voulais qu'on adopté un bébé chien en plus de monsieur pantoufle qui était déjà présent depuis trois ans en ce jour. La mort de mon père n'était plus qu'un malheureux événement et ce manque que je pensais ne jamais pouvoir faire partir c'était estomper avec la meilleure solution de qui puisse existes : le temps et la patience. Le temps avait réparer tout nos dégâts et nous avez enfermer dans une routine que j’appréciais beaucoup, les mots « vie normale » avait désormais un sens pour nous, malgré tout ce qui c'était passer. Pour être sûre, j'avais passer des testes afin de voir si la maladie de mon père n'était pas un truc héréditaire. Tout aller pour le mieux, en dehors du fait qu'à part nous deux, je n'avait aucune vie sociale, pas un seul vrais amis ne se trouver dans les parages et pas un seul probable copain ne se pointé. En réalité, j'avais beaucoup de demande, surtout les veilles de bals ou tout les mecs se jeter sur les filles libres pour ne pas être cons le jour du bal, mais ça m'importer peu. J’acceptais d'y aller avec n'importe qui, pourvue qu'il m'emmène au fast-food avant d'y aller. L'amour était un concepte que je n'arriver pas à comprendre dans la vrais vie, mais qui sembler une évidence dans les livres et les films. Je voulais essaie tant bien que de mal de comprendre la gente masculine, mais les seuls être que je trouvais intéressant était mon prof de maths d'une trentaine d'année et ce gars qui vend des coques de téléphone sur la troisième avenue. Il avait toujours un mots gentille à dire au passant, et un jolie sourire à leurs présenter. Ma mère avait arrêter de travailler à l'hôpital pour crée son propre centre psychologique, elle avait installer un bureau dans l'ancienne pièce de mon père et accueillait les clients à la porte de la maison, elle disait que cette certaine intimité pouvait détendre encore plus le client ce qui faisait avancer le traitement à une vitesse phénoménale. Ce qu'elle avait oubliée de me dire c'est qu'elle avait un copain depuis plusieurs mois, et qu'elle prétexter avoir un client à l'extérieur de la ville qui ne pouvais pas se déplacer à cause d'une maladie incurable pour aller voir son fameux copain. Copain qui devient très rapidement un fiancer, puisque celui-ci lui demander sa main après un an de relation caché. Je ne le connaissait ni d'Adam, ni d'Eve et voilà que leurs alliances était official au yeux de tous. J'en voulais affreusement à ma mère de m'avoir caché ça pendant si longtemps et la suite des événements n'a pas arranger les choses. Nous deviens vendre la maison afin de déménager avec sa nouvelle vie et les deux « fabuleux » enfant de sa nouvelle vie. Je n'avait pas mon mot à dire, je devait accepté les choix du tournage du tome II de ma mère sans broncher, en sachant que nous ne retrouverons plus jamais cette complicité d'autre fois. Elle me forcer à aller plus vite que la musique, à m’adaptai a un mode de vie dont je n'avait aucunement envie, en plus de mon choix d'avenir à faire. Je décidais de prendre une année sabbatique afin d'y réfléchir, ce fût ma deuxième année sabbatique. J'avais certes pris la décision un peu à la va vite mais sur le moment rien ne me semblait plus évident, je voyais la pille de futur école que je devait trier, les formulaires de logement, de cantine, les cours de prépa, pff, tout ça me donner mal au crâne avant même d'y réfléchir. Lorsque je finit d'emballer cette tranche de vie dans à peine six cartons, j'eus ce stupide manque qui revenait me hanté. C'est donc finit ? Moi qui pensait avoir commencé à écrire mon tome II depuis des années, je venais de retomber comme une merde on me rendant compte que comme ma mère, je décorer les pages de mon tome I avec des calligraphie en faisant croire que j'ai avancer, mais ce n'était pas le cas. Je manquer toujours de cette horrible absence que mon père avait laisser et des éventualités que le monde aurais pue m'offrir si je n'avait pas décidé de faire ma première année sabbatique. Sur le coup, le déménagement me semblais stupide, je me suis demander un quart de seconde, si je disait à ma mère que je n'était pas prête à écrire le tome II, est-ce que je la condamnerais à rester dans le tome I avec moi ? Et si je décidé de m'en aller ailleurs, est-ce que le rôle de ma mère passerais de principale à secondaire ? Je venais d'être submerger sans même être dans une situation critique. En y repensant, si j'avais décidé de partir ce jour là, de rester chez mes grands parents dans le New Jersey, de vivre dans le passer de mon père et traite des vaches à 5h du matins, je n'aurais jamais était là. Assise sur un lit trop mot, dans un hôtel dit trois étoiles en Californie. Néo passer sa main dans mes cheveux afin de m'attendrir, je pensais à toute ses fois dans la semaine ou il voulais passer sa main dans mes cheveux, et qu'il devait se retenir, qu'il m'envoyer une vanne pour faire comme si nous étions des allier mais qu'en réalité nous étions des amants. C'était une situation complètement absurde, tomber pour le fils de mon futur beau père, n'était-ce pas grotesque ? Ça revenais presque à de l’inceste mais sans les liens de sang et ses problèmes qu'on aurais si jamais on devait avoir des enfants. Mais c'était peut être ça l'amour ? Aller au de-là de la situation, traverser les barrières du surréaliste, sauté sur les choses les plus étranges parce que l'amour, le vrais était à la porter de notre main. Je penser aimer Eric Balzan, le garçon qui m'avait emmener au bal de promos de mes quinze ans, il avait une énorme effort pour ne pas être ce garçon stupide dont tout le monde se moquer tout le temps, et j'en était assez fière, ce soir là, il m'avait raccompagner chez moi et je l'avait proposer de rester pour la nuit. On est rester l'un sur l'autre, sans qu'il tente une seule fois de prendre ma pureté, je pensais l'aimais, mais le lendemain matin, je me suis rendue compte qu'il serais toujours ce garçon débile dont tout le monde se moque. Je ne voulais plus jamais être cette fille trop naïve à voir le bien dans tout le monde, jusqu'au aujourd'hui, ou je me rend compte que je suis le mal incarnée. Puis je me suis rendue compte que ma mère m'avait mentit sur sa relation avec le père Strokes pendant plus d'un an, alors que je n'avait aucune raison de me culpabilisé pour une chose que je n'avait pas encore fait. Néo se pencher  vers moi, pour un geste que j’attendais depuis plus de deux  mois. J'eus un moment d'hésitation ma tête étant encore torturer entre le bien et le mal, et dans un geste mi-doux, j’étale mes lèves sur les siennes. Aucun autre baiser ne pouvais égaler celui-ci. Je pense même que le baiser entre le prince charmant et blanche neige qui rétablis le printemps n'était égale à cette tendresse inégalable. « C'était une erreur.. » lui fis-je alors que je me décoller doucement de son entre. « Oui. » m'avait-il répondue, à ma plus grande surprise. « Et ça.. » continuai t-il, en me tirant contre lui, et reposant ses lèvres sur les miennes. « ça c'était un choix. On ne fait pas deux fois les mêmes erreurs, la deuxième fois, on décide que c'est un choix, parce que c'est qu'on veut, et c'est que je veut. » c'est ce que je voulais aussi. En réalité, je n'en savait rien, j'étais ce genre de fille qui ne crois pas au coup e foudre avant d'en avoir fait les frais. A ce moment précis, je n'avait qu'une seule envie : lui appartenir. Nos corps s'enlacèrent dans de somptueux baiser, jusqu'à en arriver au point de non retour.  C'était probablement une erreur, mais c'était mon erreur, et jamais dans n'oserais dire que je souhaite que rien ne ce soit pas ainsi parce que je le voulais. Je voulais qu'il m'aime, parce que je l'aimais en retour et je voulais lui appartenir, et je voulais qu'on se lie à jamais et je voulais que tout soit une évidence cette fois-ci.
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