gif en vrac

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Le bruit de la machine à café m’as réveiller. Enfin, je crois. Je me réveiller en douceur, la lumière du jour traverse les rideaux encore fermer, formant des petits halo rond un peu partout sur mon lit. L’odeur qui café finit par arriver à mes narines, ce qui me confirme ce que je pensais : le café est fait, il fait jour, une nouvelle journée démarre, on est toujours dans cette endroit pourris, et rien n’a changer en une soirée. J’aimerais les choses change en une soirée, comme dans les Disney ou encore dans les films d’action. Ils font beaucoup de chose en une soirée : ils sauvent le monde, ils dansent avec l’amour de leurs vies, ils inversent la malédiction, ils s’évadent de leurs prison. J’aimerais pouvoir faire quelque chose comme ça, m’évader de ma prison ou juste espérait un avenir meilleur, mais ce n’est pas possible. Nous ne sommes pas des sur-humain, nous ne sommes pas capable d’inverser les rôles, de rendre l’impossible possible. Et pire encore : nous sommes des enfants. Les enfants dont il faut s’occuper, dont on doit prendre soin, mais qu’est-ce qu’un enfant seul quand personne n’est là pour l’aider à devenir un adulte ? Je vais vous le dire : rien. Il devient un être second qui n’est capable de rien, il ne devient pas le maitre de son destin, ni le sauveur qu’il est né pour, il ne devient rien. Et j’ai eu un mal fou à comprendre que c’est ce qui arrive à tout les orphelins.